Robert Ricard a commencé son implication au sein de la TREM en tant que membre du comité de gestion en avril 2012. Il venait d’être nommé à la direction régionale d’Emploi-Québec, aujourd’hui connu sous le nom de Services Québec. Fervent défenseur de l’adéquation entre la formation et les besoins du marché du travail, il a appuyé la mise en place du comité TREM – Adéquation-Emploi. Il croyait également à l’importance de la conciliation entre le travail et la vie personnelle, se positionnant en faveur d’un travail de concertation avec des partenaires clés de la région.
Robert Ricard bouillonnait d’idées et n’hésitait jamais à questionner ses collègues pour amener les réflexions plus loin. Il était le premier à vouloir impliquer les partenaires dans la mise en place de stratégies communes au bénéfice de la région.
Il s’impliquait dans plusieurs dossiers pour l’avancement de la Mauricie, entre autres le développement d’une vision pour la jeunesse, l’étude prospective comprenant l’analyse de six secteurs économiques touchés par les besoins de main-d’œuvre et la stratégie de mobilisation «Tous pour l’emploi», ce qui lui valait une expertise plus qu’intéressante pour la TREM. Il s’efforçait toujours de tenir au courant les membres du comité de la table de concertation des différents travaux menés dans la région.
Valorisant beaucoup la formation et les études des jeunes autant que celle des adultes, Robert Ricard était centré sur les objectifs. Il se faisait un devoir de s’assurer que les stratégies mises en place soient cohérentes avec les besoins du milieu et d’établir un sens et une cohésion dans les travaux menés.